L’explication d’un chercheur de l’UA à la baisse du niveau de la mer à Postiguet.
Hier, sur le brise-lames Meliá, à côté de la plage du Postiguet, une différence d’environ 40 à 50 centimètres a été observée dans les marques des rochers, selon l’expert.
Hier, c’était un jour pratiquement printanier à Alicante, une image curieuse pour être le dernier jour de janvier. Cependant, ce n’était pas la seule curiosité météorologique qui s’est produite dans la province, comme le rapporte le diffuseur et chercheur Samuel Biener (Université d’Alicante) sur son compte Twitter : c’est le niveau de la mer à Postiguet, qu’hier il avait considérablement baissé, comme beaucoup ont remarqué dans la zone du brise-lames Meliá, où les rochers devant les bancs où beaucoup s’arrêtent pour contempler le paysage étaient beaucoup plus visibles que les autres jours.
Biener a commencé son explication en faisant allusion aux jours de haute pression atmosphérique que nous avons connus dans la province, en raison d’un « blocus anticyclonique qui nous accompagne depuis des semaines », dit-il. « Cependant, dans notre région, nous avons eu quelques pluies les jours où le flux de l’est a été plus persistant. » En fait, comme le souligne Biener, la pression atmosphérique ces jours-ci a été très élevée (1025 hPa).
Ceci, selon Biener, produit ce qu’on appelle dans les villes côtières « les minves de gener », (dans d’autres régions sèches ou sèches, ou calmes). Biener explique le phénomène : « L’anticyclone dense et lourd repose sur la mer et une lutte de fluides air-eau a lieu, qui se traduit par une baisse du niveau de l’eau, due à cet air lourd qui est au-dessus. C’est ce qu’on appelle l’effet baromètre inversé.
SOURCE : INFORMACION
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